Les politiques de protection et le droit du patrimoine culturel, construits sur des valeurs collectives projetant une servitude d’usage public, ont progressivement émergé au cours du xixe siècle, dans le sillage des mesures prises au lendemain de la Révolution concentrant, entre les mains de l’État, la responsabilité de sauvegarder les oeuvres et les monuments artistiques et historiques, biens communs de la Nation.