Spoliation nazie - Trois chefs d'oeuvres miraculés

Documentaries
Thème de la ressource: 
Trafic d'œuvres d'art, d'antiquités, de documents anciens et de spécimens d'histoire naturelle
Litiges, retours et restitutions
Type de ressource: 
Vidéo / Audio - Documentaires
Auteur: 
KAHN Rachel
Editeur: 
LEMAIRE Olivier
Date: 
2015
Pages / Longueur: 
54'
Langue de publication: 
German, French

Selon les sources, on estime entre 100 000 et 400 000 le nombre d’œuvres d’art confisquées par les nazis.

Le circuit de spoliation nazie des œuvres d’art était proprement industriel. Alfred Rosenberg, conseiller artistique d'Hitler, dirigeait un service spécialement créé pour la circonstance, l'ERR. Celui-ci avait pour mission de coordonner les milliers de pillages perpétrés en Europe puis de faire convoyer le butin à Berlin. Les œuvres maîtresses rejoignaient les bureaux et habitations des dirigeants de haut rang alors que le reste était stocké dans différents lieux. À la fin de la guerre, malgré la diligence d’organismes dévolus à leur restitution, des dizaines de milliers d’œuvres ont disparu. Au fil des décennies, certaines d'entre elles ont ressurgi dans l’espace public, donnant lieu à des batailles en paternité.

L'homme, la femme et le soleil
Ce documentaire retrace l’incroyable parcours de trois œuvres majeures ayant appartenu à des collectionneurs juifs, depuis leur spoliation par les nazis jusqu'à leur restitution : L'homme à la guitare de Georges Braque (collection Alphonse Kann), Soleil d’automne d’Egon Schiele (collection Karl Grünwald) et Femme assise d’Henri Matisse (collection Paul Rosenberg).

 

German title: Nazi Beutekunst - Die wiedergefundenen Meisterwerke

2012 entdeckten Ermittler in der Wohnung von Cornelius Gurlitt rund 1280 Kunstwerke. Im November 2013 wurde der Fall öffentlich und löste eine Debatte um die NS-Raubkunst aus. Die Doku führt die Geschichte der Beutekunst anhand von drei Bildern vor Augen: "Dame in Blau vor einem Kamin" von Matisse, "Herbstsonne" von Egon Schiele, sowie "Der Gitarrenspieler" von Georges Braque.